Bonne viande de truie avec de belles escalopes entre les pattes appréciées sue le marché aux truies africain pour travail hard
commentaire n° :1
posté par :
Tyran
le: 01/07/2017 à 09h59
Ce genre de femelle était appréciée des inquisiteurs qu'ils placaient sur un grill pour les interroger, les babines cuisaient lentement au dessus des braises pendant qu'ils travaillaient les
mamelles avec une bougie. Pour échaper à la chaleur, elle remuait du bassin imitant une saillie. Une fois cuites, les lévres arrachées à la pince étaient placées dans la bouche de la fautive avec
un bailon l'obligeant à ingurgiter la viande. Pour les coupables de sodomie, on la placait sur un pieu par l'anus et on fouettait jusqu'aux aveus avant d'introduire une barre rougie dans son
fondement. Bien sur ce n'était qu'une partie des divertissements qui pouvaient durer plusieurs jours, ablation du clitoris à la pince, dépecage, extraction des ovaires, etc.. faisaient partie des
réjouissances. Dans certains pays, on utilise encore ces méthodes pour interroger des prisonnières
commentaire n° :2
posté par :
Torkada
le: 07/07/2025 à 14h59
Bonne viande de truie avec de belles escalopes entre les pattes appréciées sue le marché aux truies africain pour travail hard
Ce genre de femelle était appréciée des inquisiteurs qu'ils placaient sur un grill pour les interroger, les babines cuisaient lentement au dessus des braises pendant qu'ils travaillaient les mamelles avec une bougie. Pour échaper à la chaleur, elle remuait du bassin imitant une saillie. Une fois cuites, les lévres arrachées à la pince étaient placées dans la bouche de la fautive avec un bailon l'obligeant à ingurgiter la viande. Pour les coupables de sodomie, on la placait sur un pieu par l'anus et on fouettait jusqu'aux aveus avant d'introduire une barre rougie dans son fondement. Bien sur ce n'était qu'une partie des divertissements qui pouvaient durer plusieurs jours, ablation du clitoris à la pince, dépecage, extraction des ovaires, etc.. faisaient partie des réjouissances. Dans certains pays, on utilise encore ces méthodes pour interroger des prisonnières